26/08/2025 –, Pinède Méditerranée
Exercice de gymnastique prospective pour ouvrir nos imaginaires sur ce qu'on pourrait faire collectivement du monde du travail
Par le détour de la dystopie, les participants seront invités à imaginer le monde du travail en 2050, avant de se demander comment éviter d'en arriver là, quels sont les leviers collectifs et individuels pour éviter le pire et inventer le meilleur.
En binôme les participants écriront un premier dialogue dépeignant une version possible du futur. Le reste du groupe sera appelé à l'amender collectivement pour tendre vers un futur souhaitable.
L’objectif est d’apprendre à anticiper les crises par une gymnastique de la projection dans l’avenir, ce que l’UNESCO appelle la littératie du futur. Cet exercice rapide peut être une première intention à des exercices plus complets de prospectives.
Méthodologie, démarche, méthodes pédagogiques:Ecriture de récits, intelligence collective et futurs souhaitables
Public concerné - pré-requis et/ou autres préalables demandés aux participant·es:Tout le monde est bienvenue !
Aucun pré-requis, si ce n'est l'envie de se départir de tout "réalisme sclérosant"
Entre 13 et 20 personnes
Raphaëlle Chaygneaud-Dupuy réfléchit aux modes de gouvernance dans les organisations en tant que praticienne et en tant qu’enseignante. Depuis 2017, elle travaille dans le champ de l’ESS, au sein d’un fablab (TechShop), puis d’un accélérateur de PMEs de l’ESS et aujourd’hui d’une coopérative SCIC d’immobilier solidaire. Responsable de l’animation de la vie de la coopérative depuis 2022, elle développe un regard réflexif sur les pratiques démocratiques à Plateau Urbain, notamment par le biais de la prospective. Enseignante à Sciences Po Paris, elle partage son expérience aux étudiants par le biais d’une simulation de la vie d’un tiers lieu. Membre de la section prospective du CESER IDF et administratrice de l’URSCOP IDF, elle contribue au plaidoyer de l’ESS à l’échelle régionale.