Depuis le début de son parcours professionnel, la question du rapport au travail questionne Céline. Elle interroge la frontière floue d’un travail militant et de l’engagement. La voie coopérative est son terrain de jeu pour étudier les nouvelles formes d’emploi, l’intermittence, et le travail au projet, mais aussi les organisations collectives et les systèmes de gouvernance. Elle est animée par les récits de vie, (se) raconter des histoires, comprendre cequi anime les personnes et les projets pour en extraire les savoirs, transmettre, partager. Ces histoires racontées passent aussi par l’illustration. Céline est partie prenante de diverses recherches action création et participe activement au projet Manucoop au sein du conseil coopératif.

Installée face aux montagnes à Chambéry, Gabrielle profite de sa vie pour quitter Paris et pour tenter une démarche de transformation sociale. Son engagement commence dans les mouvements Hip Hop puis Slam et se poursuit au sein du milieu coopératif en intégrant Coopaname, Finacoop et Manucoop. De l’autonomie artistique aux questions de gouvernance et de coopération, Elle trouve dans les logiques d’auto-organisation une piste de mutation à soutenir. Précisément, elle cherche à mettre la communication au bénéfice de projets qui font sens et justice. Entrepreneure-salariée et administratrice chez Coopaname un temps, Gabrielle est aujourd'hui membre du comité d'éthique de Smart, anime la communication de Manucoop, et depuis peu structure un fonction de communication chez d'Oxalis.